La vérité au service de la lumière

Ce ne sont pas les v@xx qui tuent mais la 5G !

 


En ce qui concerne le message de cobra disant que les v@x ne sont pas là pour tuer la population , c' est un message codé  que je viens de comprendre.

Benjamin fulford a mis un message hier ( voir en dessous) en expliquant  que ce ne sont pas les v@x qui tuen les gens mais la 5G, en gros les v@x servent de bouc emissaire.
cela corrobore ce qu' a dit Cobra dans son dernier article quand il dit que les  v@x ne sont pas la pour tuer la population. avec lui tout est codé , il essai de nous avertir.

Avant la pandemie j avais mis des articles expliquant que ce sont les v@x associés a la 5G qui allaient tuer la population. ( voir en dessous)
les forces de lumiere, ainsi que Thor han ( voir chaine youtube elena danaan) ont alerté plusieurs fois de la dangerosité de la 5G.

Ce qui se passe actuellement avec le pass sanitaire c est un écran de fumée. certains alerteurs ( dont jean jacques crevecoeur dans la première émission de launetv.com) ont averti de cela car ils savent comment fonctionne la cabale.

Vous voyez bien qu' actuellement tout le monde  a les yeux braqués sur les v@x et le pass, or le véritable  enemi c'est la 5G !

les forces de lumière ont mis en pannd les satellites mais il reste les antennes qu' ils ont installé un peu partout pendant les confinements.  A croire même que les confinements n'étaient là que pour que la population  ne se rende pas compte qu'on est en train d installer des antennes 5G devant chez eux !

voici ce que dit Fulford :

"Les preuves et les symptômes que nous voyons sont tous parfaitement adaptés à une attaque électromagnétique. Un système immunitaire affaibli en raison d'un  empoisonnement aux  CEM permet à une multitude d'agents pathogènes qui existent déjà en nous et autour de nous de prendre l'avantage. Nous exprimons ainsi divers symptômes, qui sont associés à une « liste de symptômes » qui constitue un « syndrome » comme le SIDA ou le SRAS. La carence en zinc exprime également des symptômes similaires à ceux du rhume et de la grippe saisonniers. Lorsque vous combinez ces symptômes avec un «test» PCR sur-amplifié conçu pour créer plus de 95% de faux positifs, il est alors facile de voir comment l'   empoisonnement aux CEM peut devenir Covid-19"

anciens articles à lire :

https://veritas144.blogspot.com/2020/09/le-genocide-5g-commence-en-octobre.html

https://veritas144.blogspot.com/2020/05/faire-face-la-5g.html

https://veritas144.blogspot.com/2020/06/le-petit-observateur-n11-tout-est-faux.html

et aussi 

https://veritas144.blogspot.com/2020/05/proces-depose-au-nom-du-peuple-du-monde.html




Lettre aux non V@x ciné

 Le chercheur de l'OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le V@x


Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d'un consentement éclairé et d'une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l'ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles. Lisez la lettre ci-dessous ou au format PDF ici .

Lettre ouverte aux non vaccinés

Tu n'es pas seul! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n'avaient pas reçu de vaccin contre la COVID-19 et 14 % de plus n'avaient reçu qu'une seule injection. Aux États-Unis et dans l'Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vaccinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des boucs émissaires les non vaccinés pour les troubles qui se sont produits après dix-huit mois d'alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l'heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n'existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la tutelle de votre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble. Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, à votre intégrité et à votre autonomie corporelle. C'est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants contre leur vaccination de masse à l'école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l'immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les juridictions.

Vous êtes ciblé par les médias grand public, les campagnes d'ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et la foule des médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vacciner. Vous êtes vicieusement le bouc émissaire de la propagande et les autres personnes qui vous entourent font pression. Rappelles toi; Il n'y a aucun problème avec vous.

Vous êtes accusé à tort d'être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu'en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variantes virales et abroge davantage la propagation à quiconque.

Vous avez raison d'exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l'innocuité et l'efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données de l'étude n'a été rendue publique ou accessible aux chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vaccinaux. Les valeurs élevées revendiquées d'efficacité relative reposent sur un petit nombre d'"infections" déterminées de manière ténue. Les études n'étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placebo. Il ne s'agit pas d'une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vaccins.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d'opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d'une polyculture de l'information et de ses interprétations. Et nous n'avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vaccin laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu'arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l'autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidé. Vous faites preuve de résilience, d'intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d'expression, qui sont nécessaires à l'épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, PhD
Claus Rinner, PhD
Laurent Leduc, PhD
Donald Welsh, PhD
John Zwaagstra, PhD
Jan Vrbik, PhD
Valentina Capurri, PhD

source

Tyrannie sanitaire. « Macron, Castex, Véran et toute leur clique, ont brisé mon engagement de pompier volontaire ». Témoignage

 Notre rédaction compte un journaliste qui était pompier volontaire jusqu’au début de l’année 2021. Il ne l’est plus. Il explique ci-dessous les vraies raisons de sa rupture d’engagement.



« Voilà, c’est fini » chantait Jean-Louis Aubert. Après deux ans et demi d’engagement comme pompier volontaire à côté de chez moi, j’ai rompu mon engagement. C’était il y a quelques mois déjà, en tout début d’année, avant que le pass sanitaire ne soit officiellement acté par les autorités de ce pays qui ont décidé d’enfermer leur propre peuple pour la vie (puisqu’ils recalent même des amendements permettant de mettre fin à l’urgence sanitaire… quand il n y aura plus d’urgence sanitaire).

C’était il y a quelques mois, car j’avais compris que la messe était dite déjà. Depuis le début de la crise dite « du covid », j’ai vu les autorités, y compris au sein de l’administration chargée des pompiers professionnels comme volontaires (les SDIS) devenir complètement folles, avec des consignes de plus en plus débiles, injustifiées si ce n’est toujours pas l’éternelle peur de devoir rendre des comptes à sa hiérarchie et de se faire taper sur les doigts, ce qui est sans doute la pire maladie (une vraie celle-là) que le système bureaucratique français ait engendrée.

Ainsi, en période de Covid-19, alors même que la Bretagne était peu touchée par la pandémie, on vous demandait, avant toute chose, sur n’importe quelle intervention, de mettre un masque à la victime chez qui vous alliez. Avant toute discussion. Y compris si celle-ci était une personne en crise d’asthme, y compris si elle était déjà paniquée par sa maladie et avait tout autre chose à penser qu’au fait d’accepter qu’on lui mette un masque sur le visage. Le Covid avant tout.

Heureusement que sur le terrain, les hommes s’adaptent et n’agissent pas en respectant à la lettre les consignes d’une administration composée trop souvent de gens qui n’ont jamais mis un pied sur le terrain.

Cette procédure du masque, comme celle de la « tenue Covid » (une espèce de combinaison façon Armée des 12 singes, à mettre à la moindre suspicion, c’est à dire en réalité dès qu’une personne toussait et avait de la fièvre, ce qui est tout de même un spectre assez large surtout en automne-hiver…) sont abjectes. Imaginez, pour la tenue Covid, il y a même eu des notes qui appelaient à les mettre, c’est-à-dire à perdre 1 à 2 minutes le temps de l’enfiler, y compris dans le cas d’un arrêt cardiaque. Vous rendez-vous compte ? On vous apprend en formation qu’en cas d’arrêt cardiaque, l’urgence est de masser, coûte que coûte, et le plus rapidement possible, la victime.

Mais le Dieu Covid arrive et vous fait perdre une à deux précieuses minutes pour enfiler une combinaison en mauvais état et qui se déchire en trois mouvements (puisque les SDIS, financés par les départements, ne sont pas particulièrement riches…) avec l’éventuelle crainte que votre victime en arrêt cardiaque puisse aussi avoir le Covid. Ubuesque.

La religion Covidienne et l’administration folle

Des scénarios comme certains de ceux décrits plus hauts, j’en ai vécu. C’est bien réel. Tout comme j’ai vécu le fait de se rendre à l’hôpital, avec des victimes blessées, parfois gravement, et de se faire presque sermonner par le personnel des urgences parce que vous n’avez pas « emprunté le chemin Covid » ou parce que vous êtes rentré sans sonner (dans certaines situations il y a autre chose à penser), personnel à qui l’administration a suffisamment bourré le crâne pour qu’il fasse lui aussi parfois preuve d’une inhumanité effrayante (pas tout le personnel, loin de là et heureusement).

Que dire de cette pauvre dame de plus de 80 ans, blessée gravement à la jambe alors qu’elle rentrait ses bêtes, et accédant à l’hôpital pour la première fois de sa vie me disait-elle, n’ayant jamais bénéficié de vacances, ni d’aides quelconques, n’ayant jamais rien demandé d’ailleurs… et qui se retrouve traitée comme un robot à l’entrée de l’hôpital. Pas de bonjour. Prise de température. Circuit non Covid. Circulez. Assise sur un brancard sans que l’on s’occupe d’elle immédiatement ce qui constituait une aberration eu égard de sa blessure. Elle demandait juste à être traitée humainement, pour la seule fois de sa vie où elle se rendait à l’hôpital. Impuissance et colère de ma part face à cette inhumanité.

Ce sentiment de révolte ne m’a plus jamais quitté ensuite et n’a fait que grandir, chaque scénario devenant parfois plus improbable et plus con, il faut le dire, que celui de la veille. Des notes de service s’enchainent, parfois contradictoires, parfois consternantes. Porter le masque dans son ambulance entre collègues… Ne plus pouvoir rentrer à trois devant parce qu’il y a plus de risque de se transmettre un potentiel virus entre sportifs et bien portants… et qu’il faut donc briser la communication entre pompiers en envoyant l’un des trois derrières, seul de retour d’une intervention ou en se rendant sur zone. Ne plus faire de sport entre pompiers pendant le confinement, alors même qu’il faut être au top physiquement.

Et puis vint le messie vaccination : conseillée au départ, imposée désormais sans fondement. Et que dire des pompiers que l’on extrait de leur rôle en les incitant à aller vacciner la population (ils ne sont pas disponibles lorsqu’ils le font alors même que le pays manque de pompiers notamment en semaine en journée).

Des décisions brimantes, injustifiées, idiotes.

Avant le Covidisme, aucune note de service ne permettait à contrario — ce qui aurait dû être fait depuis bien longtemps — le personnel des pompiers de se munir de masques et d’outils sanitaires lourds pour aller en intervention chez des personnes en lourdes difficultés sanitaires, ou susceptibles de transmettre des maladies bien plus graves (La drogue, l’alcoolisme, certaines maladies liées à la saleté, font bien plus de dégâts que le Covid…).

Dans le même temps, certains SDIS sont incapables de fournir correctement et allègrement leurs personnels en vêtements et en matériaux (imaginez la tête d’une victime dans une ambulance lorsque vous vous excusez pour l’odeur de fumée qui empeste dans la cabine, en plus des émanations toxiques, parce que vous revenez tout juste d’un incendie, avec les mêmes chaussures que durant cet incendie, tout cela parce que le conseil départemental n’est pas capable de payer deux paires de chaussures d’intervention par pompier…).

Ces décisions, ces notes de service, ces comportements humains répétés, accentués par la tyrannie de la pensée dans laquelle nos dirigeants ont plongé tout le monde, m’ont conduit, entre autres, à rompre mon engagement de pompier volontaire.

Et pourtant, quel bel engagement. Que de bons jeunes hommes et jeunes femmes, et moins jeunes, qui s’investissent jours et nuits, sans compter leur temps, au service de la population locale. Quel apprentissage de la vie. Quelle sensation de rendre service à sa communauté, à son prochain, à ses anciens. Quel héroïsme du quotidien que portent en eux celles et ceux qui font le choix de cet engagement. Quel stress aussi, lorsque le bip sonne, en pleine nuit, et que vous vous retrouvez quelques minutes plus tard, ici dans une maison en feu, là sur un accident de la route ou là encore dans une maison en plein drame familial ou médical, et que votre devoir, c’est de gérer et d’agir. Pour sauver des vies et ce qu’il y a à sauver.

Ces sentiments, ces situations, ceux qui aujourd’hui voudraient lyncher de « l’antivax » à tour de bras et qui n’ont que le mot « solidarité » à la bouche sans agir par ailleurs, ne les connaissent peut être pas. Jean Castex, Emmanuel Macron, Gabriel Attal, Véran, et toute cette clique de banquiers, d’hommes d’affaires, de hauts fonctionnaires, d’arrivistes, ne les ont jamais connu. Et ne les connaitrons jamais. Ils ne sont pas forgés pour cela. Par contre, ils sont forgés pour briser le rêve de milliers de jeunes et de moins jeunes qui ne demandent qu’une chose, c’est de pouvoir s’engager, et sauver des vies.

Pas de se faire vacciner contre un virus parce que ces messieurs de la haute ont détruit l’hôpital public depuis des décennies et qu’ils ont désormais peur que tout cela se voit un petit peu trop brutalement.

Pas de sauver des vies via un hypothétique vaccin, ou des « gestes barrières » à la con dont rien ne démontrent qu’ils sont efficaces, surtout en plein air ou dans des petits établissements de campagne. Non, sauver des vies réellement sur le terrain.

A n’importe quelle heure du jour et de la nuit, 365 jours par an. Faire un massage cardiaque. Poser un garot à une personne qui a le bras ou la jambe déchiquetée et dont l’espérance de vie se résume à vos gestes, et à quelques secondes d’action. Savoir réagir immédiatement face à une personne inconsciente. Détecter rapidement les signes d’un AVC. Empêcher un suicidaire de s’endormir avec les médicaments ingurgités. Sauver un bébé qui s’étouffe devant les hurlements d’une maman en panique. Ceux qui en sont savent.

Pompier volontaire, c’est aussi sauver l’élevage d’un agriculteur qui part en fumée. Ou la maison d’une famille qui s’embrase. Ou venir en aide à un enfant qui s’est cassé le bras dans une cour de récréation. Ou à une mamie abandonnée par ses enfants, sans doute très à cheval sur les gestes barrières par ailleurs mais qui abandonnent quand même, et qui a chuté, et qui a passé la nuit dans son urine ou dans ses excréments. Et réconforter, sourire, discuter, même quand c’est dur, même quand d’autres facteurs de la vie font que tel ou tel jour, vous n’êtes pas d’humeur, vous avez des soucis. Tout cela est oublié, pour les autres, quels qu’ils soient et d’où qu’ils soient d’ailleurs.

C’est cet engagement que par leurs décisions abjectes, Macron, Castex Véran et toute leur clique, ont brisé chez moi. Car si j’ai rompu mon engagement, ce sont bien eux les responsables, au même titre qu’ils sont en train chaque jour un peu plus de pousser à bout une partie significative de la population française.

Me concernant, j’ai toujours l’attrait pour aider et tenter de sauver les autres, au quotidien, et le souhait s’il le faut de donner des milliers d’heures de disponibilité chaque année, comme je l’ai fais avec envie et passion pendant deux ans et demi aux côtés d’hommes et de femmes intègres, honnêtes, courageux et respectables. Peu m’importe de devoir rester à proximité immédiate de sa caserne, de quitter un repas de famille, de ne pas compter les nuits passées dehors, et les projets du jour abandonnés.

Mais tout ceci n’empêche pas l’homme libre que je suis de refuser de me soumettre à des ordres, à des consignes, à des directives, à des menaces proférées par des individus hors sol, déconnectées des réalités de terrain, et néfastes pour notre société, pour notre communauté. Il y a des choses que l’on ne peut pas, que l’on ne doit pas accepter sous peine de ne jamais pouvoir renverser un système pourri.

Se plier, faire le dos rond, accepter les ordres les plus fourbes et les plus délétères sans broncher ? C’est ce que font les militaires. Je n’en suis pas un, et je ne le serai jamais.

Ma communauté a perdu un pompier volontaire. Je m’en excuse auprès d’elle et de mes camarades qui sont restés, d’autant plus que contrairement à ce que laisse à penser les moralistes du moment en mode « protégez les autres, vaccinez vous, solidarité », cela ne se bouscule pas au portillon pour s’engager chez les pompiers ou chez les secouristes. Paroles, paroles paroles….

J’espère que mes camarades me retrouveront un jour, lorsque les tyrans qui gèrent ce pays en perdition estampillé République française auront été balayés hors de l’Histoire.

Yann Vallerie source

Henri Makow. Combien de temps les v@ccinés peuvent-ils vivre ?

 On me pose souvent la question :  « Si j'ai pris le « v@ccin », combien de temps vivrai-je ?

J'ai renvoyé cette question à un de mes amis, le Dr Mylo Canderian, Ph.D. [né Milos Iskanderianos, Corfou, Grèce, 1938], qui a développé le brevet pour l'oxyde de graphène à utiliser comme arme biologique hématologique en 2015.

En toute transparence, le Dr Canderian est ce que j'appellerais un « mondialiste génocidaire », qui suit le précepte dix des Georgia Guidestones, qui est très rarement discuté, déclarant « Ne soyez pas un cancer sur la Terre ; Laissez place à la nature.
Le Dr Canderian est un contributeur médical de l'Organisation mondiale de la santé et soutient également Klaus Schwab et la « grande réinitialisation », inaugurant une monnaie numérique mondiale qui est un objectif secondaire de l'OMS pour 2022.
Le Dr Canderian est d'avis que 95 % de la population mondiale sont des « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible.
« Regardez le centre-ville de Chicago, Baltimore ou Los Angeles », a-t-il déclaré, « et vous verrez clairement pourquoi les mangeurs inutiles doivent être réprimés comme des chiens enragés. »
Il a exprimé son dédain pour les « éducateurs infectieux » qui promeuvent la théorie critique de la race, et est convaincu que le « vaccin » mettra fin au « cancer humain sur la Terre ».

Le Dr Canderian est un ardent partisan du devoir et de l'obligation de la franc-maçonnerie de débarrasser le monde de la « peste de l'humanité ».
Pourtant sur le plan personnel, lui et moi partageons une passion pour le même plat exotique servi à L'émince de Veau à Genève : la Soupe Crème de Colibri suivi de la Langue d'Elk.
Nous sommes tous les deux fans du Chef Gaston Sere de Rivières, qui est un génie culinaire.

 

Alors, j'ai demandé à Mylo : "Comment les "vaccinés" peuvent-ils savoir avec certitude combien de temps ils doivent vivre une fois qu'ils ont été piqués ?"
Il m'a présenté l'information, appelée la «Formule de fin de cycle».
Il a expliqué à quel point il est facile de calculer.
« Le pouvoir de la simplicité », a-t-il déclaré. « Il y a un cycle maximum de dix ans entre l'injection et la fin du cycle », [ou la mort], a-t-il précisé. "Et c'est extrêmement facile à déterminer."
Il a déclaré que tout hématologue peut le voir en quelques secondes au microscope, et encore plus facilement au microscope électronique. "Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l'oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle", a-t-il divulgué.
En d'autres termes, un « inoculé » [comme il appelle toute personne ayant reçu l'autorisation d'utilisation expérimentale de l'autorisation d'utilisation expérimentale de l'eugénisme pour l'injection mortelle par injection biologique] ayant une détérioration de 20 % d'oxyde de graphène dans son sang vivra, à l'exception de tout autre critère d'entrée, pendant 8 ans. [10 ans moins 20%].

Quelqu'un avec une détérioration de 70% d'oxyde de graphène ne vivra pas plus de 3 ans. [10 ans moins 70%].
ruby-peters.jpg
Le Dr Jane Ruby a récemment été  interviewé par Stew Peters sur son podcast  et a montré des exemples de ce à quoi ressemble le sang détérioré lorsqu'il est exposé à l'oxyde de graphène.

L'oxyde de graphène, pour ceux qui ne le savent pas, est le composant des protéines de pointe de l'ARN messager et des prions, qui est en guerre avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang pour l'oxygène.
L'oxyde de graphène est une éponge à oxygène qui prive le corps de l'oxygène nécessaire et provoque de nombreuses complications, y compris, mais sans s'y limiter, un choc anaphylactique, une coagulation sanguine toxique, une paralysie pulmonaire mortelle, un cancer mitochondrial et un cancer endothélial.
Le point de vue du Dr Mylo Canderian est à peu près le même que celui de Klaus Schwab, Bill Gates et du PDG de Big Pharma : LAISSEZ-LES TOUS MOURIR !

J'ai demandé à Mylo quel était l'effet des deuxième et troisième injection et des boosters et comment cela changeait le tableau de fin de cycle.
Mylo a répondu : « Tout est mesurable par des tests hématologiques. Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope, et plus vite ils se transformeront en engrais.

Enfin, je lui ai demandé comment le complot visant à tuer autant de milliards de personnes pouvait être tenu secret par un tel groupe d'élites.
Sa réponse fut : « Tu ne connais pas grand-chose à la franc-maçonnerie, n'est-ce pas, Steve ? Et voila.
source:

https://www.henrymakow.com/2021/07/how-long-do-vaccinated-have-to.html

traduction veritas