Ce qui se passe c'est qu'ils veulent empêcher Trump et son équipe de communiquer et de faire des divulgations sur eux, sur leur programme caché et surement aussi sur leur arrestation. Je pense aussi qu'ils deviennent dingues car certains d'entre eux ont été déjà arrêté, c'est la rage du désespoir !
"L'ancien directeur de la CIA, John Brennan, souhaite des séances d'humiliation publiques à la Mao pour les partisans de Trump avant qu'ils ne soient réintégrés dans la société.
Des séances d'humiliation pour 75 millions d'Américains!
C'est l'ancien directeur de la CIA!"
"Randall Lane, directeur du contenu de Forbes, a mis en garde les entreprises cette semaine contre l'embauche de Kayleigh McEnany et d'autres hauts responsables de Trump.
Lane écrit: «Embauchez l'un des collègues fabulistes de Trump ci-dessus, et Forbes supposera que tout ce dont votre entreprise parle est un mensonge.»
Un groupe d'employés d'Amazon appartenant à «Amazon Employees for Climate Justice» a appelé l'entreprise à cesser de fournir un service cloud à Parler après les émeutes du Capitole américain mercredi.
Parler n'avait ABSOLUMENT RIEN à voir avec les émeutes, mais cela n'a vraiment pas d'importance pour ces gens.
Ils veulent que les conservateurs et les partisans de Trump soient écrasés.
Vendredi, Apple a menacé Parler, l'alternative à la liberté d'expression à Twitter, à moins qu'elle n'adopte des politiques draconiennes exigées par les oligarques de la Big Tech.
En raison de la censure des Big Tech, Parler est désormais la société de médias sociaux à la croissance la plus rapide.
Apple a donné suite à ses menaces et suspendu Parler pour une durée indéterminée samedi, invoquant des menaces de violence sur la plate-forme.
Vendredi, Google a déplatformé Parler et Amazon menace actuellement de supprimer Parler également.
Le PDG de Parler, John Matze, a publié un message samedi soir pour dénoncer la tyrannie des Big Tech et leur double standard.
Amazon a expulsé Parler de son service d'hébergement Web, ce qui signifie que la plate-forme sera hors ligne jusqu'à ce qu'ils trouvent un nouvel hôte.
L'interdiction entre en vigueur dimanche, fermant de fait la plate-forme vers laquelle les conservateurs affluent depuis que les grands géants de la technologie ont commencé à interdire les conservateurs.
Parler a été confronté à ce qui ne peut être décrit que comme une cyberattaque de masse coordonnée par Big Tech, d'abord interdite par Apple et Google dans un délai de 24 heures.
Les employés d'Amazon avaient fait pression pour que la plate-forme soit démarrée afin de pouvoir faire taire davantage leurs adversaires politiques.
Dans un e-mail obtenu par BuzzFeed News, une équipe de confiance et de sécurité d'Amazon Web Services (AWS) a déclaré à la directrice des politiques de Parler, Amy Peikoff, que «les appels à la violence qui se propagent à travers Parler enfreignaient ses conditions de service et qu'Amazon n'est pas convaincu que le plan du service de utiliser des bénévoles pour modérer de telles choses sera efficace.
Bien sûr, ils n'ont pas interdit de telles interdictions lorsque Black Lives Matter prévoyait des émeutes sur Instagram, Twitter, Facebook et Tik Tok l'année dernière.
"Récemment, nous avons constaté une augmentation constante de ce contenu violent sur votre site Web, qui enfreint tous nos conditions. Il est clair que Parler n'a pas de processus efficace pour se conformer aux conditions d'utilisation d'AWS », lit-on dans l'e-mail. «[Nous] ne pouvons pas fournir de services à un client qui est incapable d'identifier et de supprimer efficacement le contenu qui encourage ou incite à la violence contre les autres», lit-on dans l'e-mail. «Parce que Parler ne peut pas se conformer à nos conditions de service et présente un risque très réel pour la sécurité publique, nous prévoyons de suspendre le compte de Parler à compter du dimanche 10 janvier à 23 h 59 PST.»
Dans un article sur Parler sur la décision d'Apple de les interdire de l'App Store plus tôt dans la journée, le PDG John Matze a écrit: «Apple interdira Parler jusqu'à ce que nous abandonnions la liberté d'expression, instituions des politiques larges et invasives comme Twitter et Facebook et nous deviendrions une plateforme de surveillance en poursuivant la culpabilité de ceux qui utilisent Parler avant l'innocence.
«Ils affirment que cela est dû à la violence sur la plateforme. La communauté n'est pas d'accord car nous avons atteint le numéro 1 de leur magasin aujourd'hui. Le même jour, «Hang Mike Pence», une suggestion violente dégoûtante, était à la mode à l'échelle nationale sur Twitter. Afficher l'horrible double standard d'Apple et son gros pack technologique s'appliquent à la communauté », poursuit le communiqué. «Apple, un monopole logiciel, ne propose aucune alternative à l'installation d'applications sur votre téléphone autre que leur magasin. Nous ne sommes pas propriétaires de nos téléphones, Apple nous les loue simplement. Apple, Google et le reste du groupe anticoncurrentiel de grands tyrans de la technologie coordonnent leurs mouvements et travaillent ensemble pour étouffer la concurrence sur le marché. "
«Plus de détails sur nos prochains plans seront bientôt disponibles car nous avons de nombreuses options», a conclu Matze.
L'interdiction entre en vigueur le dimanche 10 janvier à 23 h 59 PST.
Les grandes technologies ont également interdit les partisans et alliés de Trump à un rythme record. Ils veulent que vous soyez réduit au silence.
Note : Le PDG de Parler, John Matze, a répondu à l'interdiction et a promis de restaurer la plate-forme dans une semaine ou plus tôt.
Avez vous encore vraiment envie d'être présent chez ces plateformes ?
N'oubliez pas, on vous l'avait dit il va falloir faire des choix, choisir son camps , l'ombre ou la lumière ? et c'est maintenant